La Vierge des tueurs
La Virgen de los Sicarios
- Réalisateur : Barbet Schroeder
- 2000
- 1h41min
- Drame • Romance • Thriller / Polar
- français • espagnol
- sous-titres : français
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Résumé
Après une absence de trente ans, l'écrivain Fernando Vallejo revient à Medellin, où il a grandi, et redécouvre sa ville en proie à la violence. Dans un bordel de garçons, il rencontre alors Alexis, 16 ans, qui se prostitue et tue sur commande...
L'avis des bibliothèques
Mots-clés

Autres infos
- Titre original / Sous-titre
- La Virgen de los Sicarios
- Editeur / Distributeur
- Les films du Losange (Universciné)
- Pays
-
- Colombie
- France
- Espagne
- Année
- 2000
- Sortie cinéma
- 20/09/2000
- Sortie VOD
- 27/07/2017
- Casting
-
- Barbet Schroeder - Réalisateur
- Fernando Vallejo - Scénariste
- Jorge Arriagada - Compositeur
- German Jaramillo - Comédien
- Anderson Ballesteros - Comédien
- Juan David Restrepo - Comédien
- Manuel Busquets - Comédien
- Wilmar Agudelo - Comédien
- Juan Carlos Alvarez - Comédien
- Fernando Vallejo - D'après l'oeuvre de
- Distinctions
2000
Mostra de Venise : En Sélection officielle
- Critiques
En faisant alterner les considérations nihilistes du littérateur, les meurtres aussi fulgurants que gratuits dans les rues, et les stations dans les églises, Barbet Schroeder renouvelle le polar. L'Humanité
Une caméra exacte et lyrique fait du film un étrange poème, à la fois intense et distant, plein d'imprécations et de désabusement devant cette vitalité de la mort, toujours recommencée. Le Figaroscope
Ce parti pris de dandysme, s'il était tenu jusqu'au bout, rendrait très vite le film insupportable de mépris ou d'artifice. C'est tout le contraire qui se passe. (…) La Vierge des tueurs parvient lentement à une intensité presque insupportable. Le Monde
Il dégage un léger parfum mystique parce qu'il mêle le bien et le mal. On est ici dans l'œil du cyclone, ce nœud précis de calme au cœur des turbulences de la tempête. Les scènes d'action sont de brèves chorégraphies, si proches de la réalité qu'elles laissent une trace étrange dans le souvenir. Le Parisien
A Medellin, ce n'est pas la vie qui est un éternel recommencement, c'est la mort. Elle est partout (…). Barbet Schroeder la filme d'une caméra impitoyable, dérangeante, qui nous laisse groggy sur notre trottoir, jusqu'ici plus tranquille. Les Echos
- Catégorie
-
Long-métrage
- Niveau scolaire
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Etudes Supérieures
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