Jésus
Boku wa Iesu-sama ga kirai
- Réalisateur : Hiroshi Okuyama
- 2018
- 1h16min
- Comédie dramatique • Drame
- japonais
- sous-titres : français
Pour regarder votre film sur un téleviseur avec ChromeCast ou une AppleTV, consultez le mode d'emploi pour TV
Résumé
Yura quitte Tokyo avec ses parents pour aller vivre à la campagne auprès de sa grand-mère.
Il est scolarisé dans une école catholique et doit s’adapter à un nouvel environnement.
Un jour, au milieu d’une prière, Jésus apparaît. Dès lors, tous les souhaits de Yura se réalisent.
L'avis des bibliothèques

Autres infos
- Titre original / Sous-titre
- Boku wa Iesu-sama ga kirai
- Editeur / Distributeur
- Closing Remarks
- Pays
-
- Japon
- Année
- 2018
- Sortie cinéma
- 25/12/2019
- Sortie VOD
- 30/04/2020
- Casting
-
- Hiroshi Okuyama - Réalisateur
- Yura Satô - Comédien
- Riki Ôkuma - Comédien
- Chad Mullane - Comédien
- Hinako Saeki - Comédienne
- Kenichi Akiyama - Comédien
- Mari Hatsumi - Comédien
- Hiroshi Okuyama - Scénariste
- Kôshi Kishita - Compositeur
- Distinctions
2019
Festival International du Film de San Sebastian : meilleure nouveau réalisateur (Hiroshi Okuyama)
- Critiques
Premier film surprenant d’un réalisateur de 23 ans, une fable sur un enfant confronté pour la première fois à des notions qui le dépassent comme la foi ou le deuil. Les Cahiers du Cinéma
Au moment où l'on se demande si le brillant du pitch de départ ne va pas s'essouffler, Okuyama nous mène au cœur de son sujet. Et le film va devenir un récit initiatique. Yura va mûrir, comprendre certaines choses, faire des choix. Tout cela a la grâce de n'être jamais dit, mais suggéré par la mise en scène, et c'est bien ce qui signe l'authenticité d'un cinéate. (...) La délicatesse y côtoie l'amertume, le tragique et un humour narquois, un peu kitsch. Les Inrockuptibles
Loin de verser dans le prosélytisme religieux, le film met en scène, de manière épurée, et métaphorique, les doutes et la profonde mélancolie de l'enfance. Télérama
Ecrit à hauteur d’enfant, le beau premier film du très jeune Hiroshi Okuyama, 23 ans, rappelle les mangas de Taiyo Matsumoto par son extrême sensibilité, par cette tristesse profonde percée par quelques moments de félicité collective, et par cette manière de capter un comportement en quelques gestes. Libération
- Catégorie
-
Long-métrage
- Niveau scolaire
-
Collège / 4é-3é