Pingouin & Goéland et leurs 500 petits

1 crédit
  • français
QR code Scannez le QR code pour ouvrir ce document dans votre application.
Bibliothécaires: 5,0
(5,0 1 votant)
Après la première consultation, ce document peut être vu pendant 48 heures
Cette vidéo n’est pas disponible dans votre pays.

Pour regarder votre film sur un téleviseur avec ChromeCast ou une AppleTV, consultez le mode d'emploi pour TV

Résumé

À la Maison d'enfants de Sèvres, Yvonne et Roger Hagnauer (qui avaient comme noms de totem Goéland et Pingouin) pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1941, ont hébergé des enfants de la région parisienne victimes des restrictions alimentaires. Cette maison évolua très vite en refuge, abritant sous l'Occupation de nombreux enfants juifs, des orphelins et des victimes de guerre de toutes nationalités, ainsi que des adultes en situation irrégulière (étrangers, juifs, résistants, réfractaires au S.T.O.). Après-guerre, Yvonne et Roger Hagnauer, instituteurs laïques, humanistes et pacifistes venus du communisme, pratiquèrent des méthodes pédagogiques originales dans l'esprit de l'École nouvelle...

L'avis des bibliothèques

Spinner En cours de chargement ...

Autres infos

Genre
Editeur / Distributeur
Agat Films & Cie (Universciné)
Pays
  • France
Année
2020
Sortie cinéma
03/11/2021
Distinctions

2020

Festival du Film Francophone d'Angoulême : Sélection officielle

Critiques

Il n’est jamais inutile de rappeler et souligner certaines actions positives qui se sont déroulées pendant des périodes chaotiques. Même si cela doit prendre la forme d’un documentaire un peu « feel good ». L'Humanité

On pourrait accuser Leclerc d'omettre l'essentiel pour donner à son film les apparences d'un conte féerique. C'est que son geste est motivé par une exigence qui se révèle doucement et excède la simple restitution d'une parenthèse enchantée (...). Le Monde

De 1941 à 1970, Yvonne & Roger Hagnauer recueillirent de nombreux enfants en difficulté et sauvèrent 35 enfants juifs. Michel Leclerc retrace avec malice leur parcours et s’interroge avec pertinence sur la place de l’identité et de la mémoire dans nos vies. Les Fiches du Cinéma

Enquêtant sur ses propres racines, Michel Leclerc découvre l’importance d’un certain Marcel Mangel, futur mime Marceau, mais s’interroge, aussi, face caméra, sur le poids de la transmission et de l’identité. Ou comment réussir une œuvre d’une tendresse bouleversante sur la force du souvenir, et le droit à l’oubli. Au silence. Télérama

La bonhomie guillerette de la forme, volontairement et résolument anti-tragique (toutes les ruses de l’ingénuité), permet à Leclerc de mettre les douleurs à distance pour raconter le plus de choses possibles – entre biographies et archives, entre anecdotes et histoire, souvenirs émus et perspectives politiques – et de nous donner une idée généreuse de ce lieu expérimental et égalitaire [...]. Libération

Catégorie
Long-métrage
Niveau scolaire
Collège / 4é-3é
Récompenses
Festivals Internationaux et Prix divers
Veuillez vous connecter à votre compte svp

...

x Cacher la playlist

Commandes > x
     

Aucune piste en cours de lecture

 

 

--|--
--|--
Activer/Désactiver le son