Alain Barrière

Alain Barrière

Alain Barrière
Alain Barrière en 2006.
Biographie
Naissance

La Trinité-sur-Mer (Morbihan)
Décès
(à 84 ans)
Arradon (Morbihan)
Sépulture
Cimetière de La Trinité-sur-Mer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Alain Bellec
Nationalité
Drapeau de la France France
Formation
École nationale supérieure d'arts et métiersVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Chanteur, auteur-compositeur-interprèteVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
-Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Guénaëlle Barrière (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Label
RCA Victor, Barclay,
Albatros (publié par Philips/Phonogram)
Genre artistique
Chanson française, variété française
Distinction
Commandeur des Arts et des Lettres‎Voir et modifier les données sur Wikidata
Wikipedia
Alain Barrière
330px-Alain_BARRIERE.jpg
Alain Barrière en 2006.
Biographie
Naissance
18 novembre 1935
La Trinité-sur-Mer (Morbihan)
Décès
18 décembre 2019 (à 84 ans)
Arradon (Morbihan)
Sépulture
Cimetière de La Trinité-sur-Mer (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
Alain Bellec
Nationalité
Drapeau de la France France
Formation
École nationale supérieure d'arts et métiersVoir et modifier les données sur Wikidata
Activités
Chanteur, auteur-compositeur-interprèteVoir et modifier les données sur Wikidata
Période d'activité
1961-2013Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Guénaëlle Barrière (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Label
RCA Victor, Barclay,
Albatros (publié par Philips/Phonogram)
Genre artistique
Chanson française, variété française
Distinction
Commandeur des Arts et des Lettres‎Voir et modifier les données sur Wikidata

Louis Allain Bellec, dit Alain Barrière, né le 18 novembre 1935 à La Trinité-sur-Mer (Morbihan)[1] et mort le 18 décembre 2019 à Arradon (Morbihan)[2],[3], est un auteur-compositeur-interprète français.

Il a connu plusieurs succès dans les années 1960 et les années 1970 avec des chansons dont : Elle était si jolie, Ma vie et Tu t'en vas[4].

Biographie

[modifier | modifier le code]

Origines

[modifier | modifier le code]

Fils de mareyeurs, Louis Allain Bellec[5] est d'origine bretonne par sa mère Marie-Louise Bellec (1903-1977) qui l'a élevé, mais d'origine italienne par son père - d'où sa chanson Un peu de sang breton, il grandit en Bretagne dans un environnement assez difficile où il rêve d’évasion. Entre les plages et la lande, il devient un enfant de la nature, rebelle et solitaire. Un instituteur providentiel se prend d’affection pour le gamin et lui ouvre les chemins de la connaissance. Contre toute attente, le futur Alain Barrière devient un élève modèle, curieux de tout.

À la fin de ses études secondaires, il part pour Angers où il entre à l’École nationale des ingénieurs des arts et métiers en 1955, dont il sort diplômé[6]. Il exerce sa profession d'ingénieur chez le fabricant de pneumatique Kléber-Colombes[7] en 1960-1961. Mais depuis 1958, il a une autre passion : la musique et s’achète une guitare et commence à écrire ses premières mélodies en autodidacte.

L’année suivante, il s’émerveille de la découverte des poésies modernes de Francis Carco et Robert Desnos. Il commence à glisser des mots sur ses premières compositions qu’il fait écouter à ses amis étudiants.

Débuts

[modifier | modifier le code]

En 1961, il adopte le pseudonyme de « Barrière » et participe au concours du Coq d'or de la chanson française dont la finale se déroule à l'Olympia. Il parvient en finale avec sa chanson Cathy et se classe 11e sur 12. Mais pendant ce concours, Bruno Coquatrix l'a remarqué et Alain signe un premier contrat avec la maison de disques RCA.

En février 1962, il passe à l'Olympia en première partie du tour de chant de Colette Renard où il interprète cinq chansons. Il vit alors de quelques cachets en se produisant dans des petites salles parisiennes avant de se faire un nom, en 1963, avec Elle était si jolie. Sélectionné pour représenter la France au concours Eurovision de la chanson, il finit 5e sur 16 participants. Le pianiste et chef d'orchestre André Livernaux assure quant à lui les arrangements de ses premières chansons.

En septembre 1963, il revient une nouvelle fois à l'Olympia dans le spectacle de Paul Anka, où il interprète dix chansons.

Consécration

[modifier | modifier le code]

C'est en 1964 qu'il obtient son plus grand succès avec Ma vie et se produit alors en vedette à l'Olympia. Ma vie deviendra un tube exceptionnel en Amérique du Sud (8e au Chili, 9e au Pérou, 1er en Argentine, 1er au Brésil, 3e en Bolivie, 2e en Uruguay)[8].

Toujours avec cette chanson, en Italie Alain Barrière atteint la notoriété et connait un succès considérable, pour atteindre la 7e position dans le hit parade[9]. Le succès de cette chanson pousse le label discographique à sélectionner l'artiste pour le Festival de Sanremo de 1965. Mais un différend entre la maison de disques RCA et la direction du Festival conduit celle-ci à retirer de la programmation tout artiste présenté par la firme RCA, y compris Paul Anka et Dalida[10]. La chanson pour le festival, Quattro ragioni per non amarti (Quatre raisons de ne pas t'aimer), est malgré tout sortie, mais sans résultats commerciaux significatifs.

Après un passage comme acteur en 1966, dans Pas de panique de Sergio Gobbi, il revient avec succès à la chanson, avec des titres comme La Marie-Joconde (1966), Les Guinguettes (1966), Rien qu'un homme (1970), Emporte-moi (1968) et C'était aux premiers jours d'avril (1969). La production d'Alain Barrière est décidément prolifique avec des albums qui se succèdent : Toi (1966), Si je rêve de toi (1967), À regarder la mer (1969), chansons aux paroles durablement marquantes[11]. Lors de ses passages dans la salle de Bruno Coquatrix en 1966 et en 1967, le public peut apprécier le chemin parcouru en termes de prestations scéniques.

En 1966 et 1968, c'est le music-hall Bobino qui l'accueille. Il effectue par la suite plusieurs passages à l'Olympia en 1967, 1972, 1974, 1976 et 1978.

Reconnaissance

[modifier | modifier le code]

Un autre grand succès d'Alain Tu t'en vas, interprété en duo avec Noëlle Cordier sort en 1975.

L'année 1975 est un tournant dans sa vie, puisqu’il épouse Agnès Cohen-Solal dite Anièce (1950-2019), sa compagne depuis quelques mois, et découvre la paternité avec la naissance de sa fille "Guénaëlle", la même année. De plus, il concrétise un vieux rêve en faisant construire un château en Bretagne, proche des fameux menhirs de Carnac, qu'il fait aménager en théâtre-discothèque-restaurant, avec une salle de spectacle en amphithéâtre, dans laquelle il donne des concerts chaque été. Le Stirwen (Étoile blanche en breton), le bâtiment réalisé à partir d'authentiques vieilles pierres, devient vite un lieu fréquenté des noceurs, qui se souviennent des soirées à thèmes qu’il organise avec son épouse.

En 1977, il quitte brutalement la France pour les États-Unis : - l'entreprise Stirwen est en difficultés - et le chanteur a des démêlés avec le fisc. Il revient quatre ans plus tard, mais les deux albums qu'il enregistre n'ont plus le succès escompté. Un second exil le mène au Canada où il enregistre Entre Québec et Montréal. Alain Barrière raconte ses déboires dans son autobiographie, [notamment l'intervention d'individus à son domicile], une affaire qui venait de haut lui dira-t-on à l'époque, laissant penser que son succès suscita des jalousies déguisées et des pressions politiques. Il ne revient définitivement qu'au début des années 1990, mais sans renouer véritablement avec la chanson.

En 1998, sort un CD de nouvelles chansons Barrière 97 et une compilation de ses meilleures chansons, Ma vie. Il passe à la salle Pleyel en 1998.

Des années 2000 à 2010

[modifier | modifier le code]
Alain_Barri%C3%A8re.jpgAlain Barrière

Sa fille Guénaëlle, avocate, relance sa carrière en 2005. En 2006, il publie son autobiographie, Ma vie, aux éditions du Rocher accompagné d'un CD comprenant trois nouvelles chansons : If [Tu seras un homme] d'après le poème Si de Rudyard Kipling dans la traduction d'André Maurois, Quand la mer s'est retirée et Hymne à la Bretagne en hommage à sa terre natale. Lance aussi une nouvelle compilation, La Compilation authentique. Il donne plusieurs concerts au Canada, notamment au Québec et y est bien accueilli avec un disque d'or.

En 2007, Alain Barrière revient finalement sur scène. Il entame à partir du mois de Mars une grande tournée en France, avant de se produire en avril à l'Olympia puis en décembre au Palais des congrès de Paris. Un nouveau CD paraît à l'automne 2007 (Chansons françaises) dans lequel il interprète notamment La Foule, Le Petit Bonheur, Les Copains d'abord, Ne me quitte pas, La Mer et Le Temps des cerises.

En novembre 2010 paraît un album Best of de cinquante-trois chansons composé de titres phares mais aussi de nombreuses chansons jamais parues sur CD.

Le 5 juillet 2011, il est invité dans l'émission de France 3 Village départ à Lorient, présentée par Laurent Luyat, à l'occasion du départ de la 4e étape du Tour de France : Lorient - Mûr-de-Bretagne.

Le 5 septembre 2011, l'artiste annonce qu'il est contraint de renoncer pour raisons de santé et fait ses adieux à la scène, programmés le 10 septembre 2011 à La Trinité-sur-Mer[12] et le 16 septembre 2011 au Palais des congrès de Paris.

En 2013 Guénaëlle Barrière, sa fille née en 1975, année de l'ouverture du Stirwen la discothèque de son père, reprend le flambeau et relance cette « Étoile blanche », après six ans d'absence. La même année, l'artiste publie son ultime album studio : Mes duos d'amour.

Décès

[modifier | modifier le code]

Alain Barrière meurt à Arradon à l'âge de 84 ans des suites d'un arrêt cardiaque, le 18 décembre 2019, 12 jours seulement après son épouse. Ses obsèques sont célébrées le 23 décembre en l'église de La Trinité-sur-Mer, son village natal. En cette occasion, de nombreuses personnalités lui rendent hommage, parmi lesquelles Jean-Marie Le Pen, un ami d'enfance[13]. Il repose dans le caveau familial du cimetière communal.

Discographie

[modifier | modifier le code]

Albums studio

[modifier | modifier le code]
  • 1963 : Cathy
  • 1964 : Ma vie
  • 1965 : Les Guinguettes
  • 1966 : Toi
  • 1967 : Si je rêve de toi
  • 1968 : Un homme s'est pendu
  • 1969 : Angela
  • 1970 : À regarder la mer
  • 1971 : Un peu de sang breton
  • 1972 : Pour la dernière fois
  • 1973 : Séduction 13
  • 1975 : Tu t'en vas
  • 1976 : Si tu te souviens
  • 1977 : Et tu fermes les yeux
  • 1978 : Amoco
  • 1979 : Sérénade et Tragédie / Elle va chanter
  • 1980 : Une chanson / Partir
  • 1981 : Amoco...
  • 1983 : La mer est là
  • 1983 : Ma vie
  • 1986 : Entre Québec et Montréal
  • 1997 : 97
  • 2013 : Mes duos d'amour

Ventes

[modifier | modifier le code]
Titre France
Ma Vie + 100 000[14]
Tu t'en vas + 150 000[réf. nécessaire]
Disque d’or + 100 000[15]
Et tu fermes les yeux + 75 000[16]
Cosmos 77 + 100 000[16]
Amoco + 75 000[14]
Sérénade et tragédie + 100 000[17]
Total + 700 000
Tous les chiffres donnés sont des estimations

Singles

[modifier | modifier le code]
  • Cathy (1961)
  • Je reviendrai d'Al Cantara (1962)
  • Elle était si jolie (1963)
  • Plus je t'entends (1963)
  • Ma vie (1964)
  • Ave Maria (1965) - bande originale du film Pas de panique
  • Quattro ragioni per non amarti (1965)
  • E più ti amo (1965) - paroles de Gino Paoli
  • Les Guinguettes (1966)
  • Toi (1966)
  • La Foire aux cœurs (1967)
  • Emporte-moi (1968)
  • Tout peut recommencer (1968)
  • C'était aux premiers jours d'avril (1969)
  • Viva Ouagadougou (1969)
  • Les Yeux d'Elsa (1969) d'après le poème de Louis Aragon
  • À regarder la mer (1970)
  • Si tu ne me revenais pas (1971)
  • La Mer (1971)
  • Rien qu'un homme (1971)
  • Le Voyage (1971)
  • Allez Rennes (1971) - en hommage au Stade rennais vainqueur de la Coupe de France de football 1970-1971
  • Elle (1972)
  • Pour la dernière fois (1973)
  • Le Bel Amour (1973)
  • Séduction 13 (1974)
  • Écoute bien, c'est un tango, Il faut danser Marie (1974)
  • Tu t'en vas (1975) en duo avec Noëlle Cordier
  • Celtina (1975)
  • Mon improbable amour (1975)
  • Si tu te souviens (1976)
  • Qu'importe (1977)
  • Et tu fermes les yeux (1978)
  • Amoco (1978) - chanson écrite à la suite du naufrage du pétrolier Amoco Cadiz, en mars 1978 qui provoqua une marée noire sur les côtes bretonnes
  • Une autre vie (1978)
  • Elle va chanter (1979) - chanson écrite en hommage à Édith Piaf
  • Partir (1980)
  • Une chanson (1981)
  • Alors adieu (1981)
  • La mer est là (1983)
  • Aimer (1988)
  • If [Tu seras un homme], Hymne à la Bretagne et Quand la mer s'est retirée (2006) - voir « Bibliographie »

Ventes

[modifier | modifier le code]
Titre France
Ma Vie + 500 000[18]
Les sabots + 75 000[19]
Les guinguettes +100 000[20]
Toi + 100 000[20]
Tout peut recommencer 75 000[21]
Emporte-moi +75 000[22]
À regarder la mer + 100 000[23]
Comme un vieux morceau de bois + 60 000[24]
Le voyage + 60 000[24]
Rien qu’un homme + 250 000[24]
Le Bel Amour + 100 000[25]
Maggore +75 000[25]
Ecoute bien c'est un tango +100 000[26]
Tu t'en vas (avec Noëlle Cordier) + 700 000[27]
Mon improbable amour +100 000[27]
Paris Disco 77 000[21]
Une autre vie +150 000[28]
Amoco +100 000[29]
Total + 2 797 000
Ces chiffres sont des estimations

Filmographie

[modifier | modifier le code]
  • 1966 : Pas de panique de Sergio Gobbi : Jo

"Tu t'en vas", en duo avec Noëlle Cordier, est utilisé dans la bande originale du film Seules les Bêtes (2019) de Dominik Moll.

Distinctions

[modifier | modifier le code]
  • Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres Commandeur de l'ordre des Arts et des Lettres[30]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Ma vie, Monaco-Paris, France, éditions du Rocher, 2006 (ISBN 978-2-268-05700-2) - accompagné d'un CD comprenant trois chansons originales : If [Tu seras un homme], Quand la mer s'est retirée et Hymne à la Bretagne
  • René Bourdier, Alain Barrière : « Je suis un poète qui n'a pas voulu le devenir », Les Lettres françaises no 1117, 3 février 1966, p. 23 (interview)

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. « Alain Barrière », sur RFI Musique (consulté le 27 août 2018)
  2. Frédérique Lamy, « Le chanteur Alain Barrière est mort », Le Monde,‎ 19 décembre 2019 (lire en ligne)
  3. Insee, « Acte de décès de Louis Allain Bellec », sur MatchID
  4. (en) Sílvia Martinez et Héctor Fouce, Made in Spain: Studies in Popular Music, Routledge, 18 juillet 2013 (ISBN 9781136460067, lire en ligne)
  5. « Alain Barrière », Universal Music France (consulté le 20 décembre 2018)
  6. (it) Daniel Macovei, « Alain Barrière », sur Radio Birikina, 18 novembre 2015 (consulté le 26 août 2018)
  7. « Alain Barrière », sur chantefrance.com, 5 octobre 2016
  8. « Alain Barrière », sur babelio.com (consulté le 26 août 2018)
  9. (it) Hit Parade Italia 1965
  10. Marcello Giannotti, L'enciclopedia di Sanremo: 55 anni di storia del festival dalla A alla Z, Rome, 2005, p. 23.
  11. « Face à cette mer dont les amants se grisent à ses fêtes, on se surprend à se souvenir mot à mot des émouvantes chansons populaires d'Alain Barrière, et l'on reste des heures à regarder la mer, le cœur abasourdi, les pensées de travers. Au point de prendre le risque de ne rien comprendre à ce drôle d'univers et de devenir l'inutile cri d'une inutile fête… » dans Jean-Pierre Thiollet, Bodream ou rêve de Bodrum, Anagramme éditions, 2010, p. 64 (ISBN 978-2-35035-279-4)
  12. « À la Trinité-sur-Mer, le concert en plein air d'Alain Barrière annulé », Ouest-France, 29 août 2011 (modifié le 26 septembre 2013).
  13. « Obsèques d’Alain Barrière : un millier de personnes a rendu hommage au chanteur », Ouest-France, 23 décembre 2019
  14. a et b « TOP 33 Tours - 1978 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  15. « TOP 33 Tours - 1976 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  16. a et b « TOP 33 Tours - 1977 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  17. « TOP 33 Tours - 1979 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  18. « TOP 45 Tours - 1964 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  19. « TOP 45 Tours - 1965 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  20. a et b « TOP 45 Tours - 1966 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  21. a et b « InfoDisc : Les Meilleures Ventes de Chansons « Tout Temps » (45 T. / Cd Single / Téléchargement) », sur www.infodisc.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  22. « TOP 45 Tours - 1968 », sur www.top-france.fr (consulté le 27 mai 2023).
  23. « TOP 45 Tours - 1970 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  24. a b et c « TOP 45 Tours - 1971 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  25. a et b « TOP 45 Tours - 1973 », sur wwww.top-france.fr (consulté le 27 mai 2023).
  26. « TOP 45 Tours - 1974 », sur wwww.top-france.fr (consulté le 27 mai 2023).
  27. a et b « TOP 45 Tours - 1975 », sur www.top-france.fr (consulté le 10 janvier 2020)
  28. « TOP 45 Tours - 1978 », sur www.top-france.fr (consulté le 27 mai 2023)
  29. « TOP 45 Tours - 1979 », sur www.top-france.fr (consulté le 27 mai 2023)
  30. « Nomination ou promotion dans l'ordre des Arts et des Lettres janvier 2011 »

Voir aussi

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes

[modifier | modifier le code]

  • Ressources relatives à la musiqueVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • AllMusic
    • Discografia Nazionale della Canzone Italiana
    • Discogs
    • Last.fm
    • MusicBrainz
    • Muziekweb
    • Rate Your Music
  • Ressource relative à l'audiovisuelVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • IMDb
  • Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généralisteVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • Who's Who in France
  • Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata :
    • VIAF
    • ISNI
    • BnF (données)
    • IdRef
    • LCCN
    • GND
    • Espagne
    • Israël
    • Tchéquie
    • Lettonie
    • WorldCat
  • Site officiel
  • Biographie sur le site RFI Musique
  • icône décorative Portail de la musique
  • icône décorative Portail de l’Eurovision
  • icône décorative Portail de la France
  • icône décorative Portail du Morbihan

...

x Cacher la playlist

Commandes > x
     

Aucune piste en cours de lecture

 

 

--|--
--|--
Activer/Désactiver le son