Catalogue - page 17

Affiche du document Le dernier discours de Janos Kadar

Le dernier discours de Janos Kadar Kádár János utolsó beszéde

De Andras Solyom

50min00

  • Faits de société
  • Histoire
Le 12 avril 1989, à la surprise de tout le monde, János Kádár, président du MSZMP (parti socialiste ouvrier hongrois) âgé de 77 et malade depuis un an, est apparu à la réunion du Comité central du parti. Revendiquant le droit au "dernier mot", il insista pour prendre la parole et faire une déclaration concernant l'entretien qu'il avait eu à Moscou en 1956 (dont il n'avait jamais parlé auparavant) au sujet de la condamnation et de l'exécution d'Imre Nagy. Malgré ses intentions, perturbé par les souvenirs de la période 1956-1989 et les événements de 1989, il n'a pas pu être clair dans son discours. En quête d'une impossible justification, János Kádár tente vainement d'échapper à ses responsabilités et d'évincer son sentiment de culpabilité. Le devoir de ses référer aux réformes communistes, aux anciens communistes, aux anciens révolutionnaires de 1956, aux Russes et à la nouvelle génération réformiste, submerge l'homme frustré par les émotions et par les tensions engendrées par la chute du Rideau de fer. Riche en images d'archives, ce film révèle les extraits déterminants du discours original. Pour comprendre ces phrases difficilement formulées, Mihály Kornis (auteur du film) fait une présentation de l'homme János Kádár, et analyse le discours dans le contexte des événements de 1956 et 1989.   Sous-titres incrustés.
1 crédit
Affiche du document Afghanistan, volume 1 : Traces de guerre

Afghanistan, volume 1 : Traces de guerre Collection Varan

Mariam Nabil Kamal

1h57min31

  • Documentaire
  • Faits de société
  • Histoire
Créés sous l'impulsion de Jean Rouch, les Ateliers Varan proposent depuis 30 ans des ateliers de formation au cinéma documentaire basés sur la pratique. On y apprend à cultiver son regard et à situer son point de vue. Depuis l'origine, cette école de cinéma met en place des ateliers à travers le monde. L'Atelier Varan Kaboul, créé en 2006 par Séverin Blanchet, compte aujourd'hui une vingtaine de jeunes cinéastes et a amorcé la renaissance du cinéma documentaire en Afghanistan.   - "Mon Kaboul" de Wahid Nazir (2006, 22 minutes). Jamal est chauffeur de taxi collectif. Avec ses passagers, il parle de la guerre civile, présente dans toutes les mémoires, et en retrouve les traces dans les rues de la ville...  - "Laila" de Batol Rezaei Muradi (2006, 33 minutes) : À l'hôpital psychiatrique de Kaboul, les loisirs et les possibilités de s'instruire sont rares. Pourtant, quelques femmes savent trouver ensemble un peu de réconfort...  - "Les Fantômes du Zoo" de Mahbooba Ibrahimi (2009-2010, 15 minutes) : Pendant la guerre civile, le zoo de Kaboul a été le théâtre de violentes batailles. Il a été reconstruit et il est devenu un lieu populaire de promenade...  - "Le bruit du pas" de Mariam Nabil Kamal (2009-2010, 23 minutes) : Au centre de réhabilitation Ali Abad, les handicapés fabriquent des membres artificiels pour d’autres handicapés. Grâce à leur lutte pour s’adapter, nous découvrons combien les Afghans ont souffert de la guerre et de ses conséquences... - " Issa le lutteur" de Reza Hosseini (2006, 22 minutes) : Issa était champion national de lutte. Accusé d'avoir caché des armes, il a été arrêté et torturé par les Talibans. À sa sortie de prison, Issa ne reconnaît même pas sa famille. Après des traitements et des séjours à l'hôpital, Issa retrouve la mémoire, mais il a souvent des crises qui l'empêchent d'avoir une vie normale.
2 crédits

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