Documents pour «Asie»

Documents pour "Asie"
Affiche du document Vietnam, le dragon de l'Asie

Vietnam, le dragon de l'Asie Hanoi, Hoihan, Hue, Ho Chi Minh Ville, Delta du Mékong

De Jacques Vichet

54min34

  • Documentaire
  • Nature et Découvertes
  • Géographie
Le Vietnam est un pays surprenant. Terre des contrastes culturels, naturels, pays à la forme de dragon bordé par la Chine au Nord, le Laos et le Cambodge. Hanoï, la capitale, est le coeur historique du Vietnam. Le quartier de Ba Dinh, également surnommé quartier de l'Oncle Hô, se caractérise par son musée et son mausolée en l'honneur de Hô Chi Minh. Le lac de l'ouest et la pagode au Pilier unique font également partie des symboles du Ba Dinh. Située sur les routes ducommerce maritime de la soie, Hôï An est l'une des villes les plus typiques du Vietnam. Ses vieilles maisons à tuiles courbes, son petit port et ses anciens temples en bois en ont fait une destination pittoresque.  Hué, l'ancienne capitale du Vietnam, possède un caractère particulier. Toute en finesse et en poésie, elle est traversée par la rivière des Parfums. Marquée par la période du protectorat français, les monuments anciens, comme la citadelle royale, ou le Palais de la Suprême Harmonie (Palais du Trône d'Or) se confrontent aux monuments de la période coloniale, comme le Pont Trang Tien, conçu par Gustave Eiffel. Au Sud, Hô Chi Minh Ville, l'ancien Saïgon, reste toujours le poumon économique du pays. A l'extrémité Sud du Pays, entre la frontière du Cambodge, la mer de Chine et le golfe du Siam, se déploie le delta du Mékong, une immense et basse plaine extrêmement fertile, traversée par les neuf bras d'un fleuve éclaté en morceaux. Là, se révèle le Vietnam dans toute sa richesse et sa splendeur, loin des circuits touristiques.
1 crédit
Affiche du document Mustang, le royaume des peintres paysans

Mustang, le royaume des peintres paysans

Corinne Glowacki

52min04

  • Documentaire
Le royaume du Mustang est un décor à couper le souffle : Des canyons rouges et des cités troglodytiques en plein désert d'altitude, avec en toile de fond les sommets du Toit du Monde. Depuis un millénaire, dans une palette de couleurs riches, et de lumières extraordinaires, vit un peuple de paysans-commerçants. Ils se partagent entre la culture de leurs terres et les allers-retours entre montagnes et villes indiennes où ils commercent en hiver. Longtemps interdit aux étrangers en raison de la proximité du Tibet chinois, les trésors de ce royaume ne furent découverts qu'il y a dix ans.  Luigi Fieni, peintre italien d'art sacré de grande renommée est alors chargé de restaurer les peintures des temples de la capitale. Il y rencontre des hommes et des femmes d'exception, incroyablement libres de leurs mouvements, vivant au gré des saisons et s'adaptant de façon remarquable aux changements de leur société. Devant l'ampleur de la tâche, il a l'idée de se faire aider par eux. De simples fermiers, il en fait des artistes. Paysans le matin, peintres d'art sacré la journée, ils découvrent un autre monde et peu à peu se réapproprient la culture de leurs ancêtres. Une idée folle qui se révèle être la plus belle aventure de Luigi mais surtout celle d'une quarantaine d'hommes et de femmes Mustangis. C'est de cette expérience humaine unique dont nous témoignerons, à travers le rythme des saisons pendant lesquelles le Mustang change de visage et ces peintres paysans eux, changent de vie.
1 crédit
Affiche du document Confucianisme, post-modernisme et valeurs asiatiques

Confucianisme, post-modernisme et valeurs asiatiques

Anne CHENG

1h02min34

  • Autres religions et religion comparée
Même si elle apparaît à bien des égards comme accessoire dans les tourmentes révolutionnaires qui ont secoué la Chine tout au long du XXe siècle, la question de la survie du confucianisme dans une société qui se veut moderne, voire post-moderne, ne manque pas de provoquer une certaine perplexité. Comme chacun sait, le confucianisme a fourni pendant deux mille ans un soubassement idéologique et institutionnel à un régime impérial qui n'a définitivement disparu qu'en 1912. À ce titre, l'héritage confucéen, rendu responsable de l'arriération de la Chine et perçu comme la source de tous ses maux, a été la cible privilégiée du mouvement iconoclaste du 4 mai 1919, avant de faire l'objet, entre 1966 et 1976, de destructions systématiques au cours de la Révolution Culturelle.
Comment expliquer alors que ce même confucianisme, à partir de la fin des années 1970, soit apparu au contraire comme le moteur de l'essor économique du Japon et des " quatre petits dragons ", jusqu'à devenir, dans la bouche de certains dirigeants connus pour leur autoritarisme, un atout central du discours sur les " valeurs asiatiques " ? Parallèlement à cette instrumentation de toute évidence idéologique s'est développée depuis le début du siècle une réflexion sur la réappropriation de la tradition et des valeurs confucéennes émanant d'intellectuels en Chine d'abord, puis, après la prise du pouvoir par les Communistes en 1949, à Hong Kong et Taiwan, avec un retour actuel en Chine Populaire accompagné d'une diffusion dans la diaspora de culture chinoise, notamment aux États-Unis.
En fin de compte, le confucianisme a-t-il perdu définitivement toute assise dans les sociétés chinoises ou sinisées, et a-t-il encore une chance de compter dans les débats de notre " monde global et éclaté " ?.
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